Truisme ou simple coup de buzz ? Maître Gims aurait-il signé un pacte avec le diable pour avoir du succès dans l’industrie musicale ? Des fans, la toile, ses détracteurs … s’interrogent là-dessus et ce depuis sa carrière solo lancée en 2013. Bref, analyse de la RÉDAC…
OUI, l’artiste congolais résident en France, Maître Gims, a signé un contrat avec son sang – à l’image des pactes sataniques – pour avoir du succès dans la musique. C’est en tout cas ce qui se passe dans son dernier clip intitulé « le prix à payer » posté sur YouTube le 28 novembre dernier. Dès l’entame de la création du Warano, DemDem sa compagne, dans le rôle d’une assistante le conduit vers un monsieur pour signer un contrat particulier qui va l’amener au sommet de son art dans la suite du clip. D’autres passages et signes font jaser davantage la toile sur un éventuel pacte avec le diable.
Les paroles de cette musique ne sont pas moins importantes.
« On fait des choses qu’on regrette vraiment. Avec le temps j’ai prêté serment. Je l’ai fait sincèrement. On oublie bêtement (…) J’ai fait des choses que je regrette vraiment ».
Des paroles percutantes d’un mélancolique. L’artiste voulait-il juste faire des rimes, regrette-t-il vraiment des choses – comme le pacte dans l’image – ou est-ce une simple inspiration de l’ancien lead vocale de la Sexion d’assaut ? Loin s’en faut !
Vers la fin de la vidéo, investit pleinement dans son rôle, Gims mécontent de la tournure des choses prend la fuite et quitte le clan. Cette dernière action vient rendre ambiguë la certitude de son appartenance à une secte. Car, quand on rentre dans ce genre de société sécrète, on n’en sort plus sauf les pieds devant, selon les spéculations courantes.
Quels que soient les images et les textes que l’interprète de « Bella » véhiculera dans ses œuvres, personne ne pourra affirmer avec certitude qu’il fait partie d’une secte occulte. Il est d’abord et avant tout, un artiste et le reste.
